Autres écritures possibles
(Changement de nom ; texte en latin, roman, occitan ; erreurs de transcription...)
Grand Lac
 
Sources d'information
▩ 1. Cadastre napoléonien (Archives départementales de la Lozère) :
Laval-du-Tarn, section B, dite de Montredon, 2^ème feuille, parcelle 276, plan de 1832.
 
▩ 2. Monographies communales de Laval-du-Tarn (Archives départementales de la Lozère) :
▪ Le 30 juin 1862, l'instituteur Lavoye évoque le château sans le décrire. (texte original)
▪ Le 24 mai 1874, l'instituteur Lavoye évoque le château : "La commune de Laval-du-Tarn possède encore un autre château, celui de Grandlac appartenant, avec le grand domaine qui en fait partie, à M. le Comte de Chambrun, député. Je pense qu’il tire son nom d’une grande mare d’eau qui est au levant et qui en temps de pluie prend des proportions considérables. [...] Le château se fait remarquer par son ancienneté et la solidité de sa construction, il n’a pas de tours ; dans le principe, il avait été, comme celui de la Caze, la propriété de la famille noble de Maillant." (texte original)
 
▩ 3. Mesures légales de protection du patrimoine immobilier :
▪ Le château est partiellement inscrit comme Monument Historique depuis 1998 sous le n° PA48000005.
▪ Le château est inscrit à l'Inventaire général du patrimoine culturel sous le n° IA48000256.
 
▩ 4. Les Archives départementales de la Lozère possèdent des photos du château.
 
▩ 5. Wikipedia consacre une page à ce château.
 
▩ 6. Patrimoine, légendes et traditions (Petites et grandes histoires d'ici / par l'ancien Office de Tourisme Intercommunal Aubrac-Lot-Causses, La Canourgue / p. 25)
 
▩ 7. Mémoires historiques sur le Pays de Gévaudan et sur la ville de Mende, qui en est la capitale (pour servir au dictionnaire universel de la France / par le Révérend Père L'Ouvreleul, Prêtre de la doctrine chrétienne, directeur et professeur de théologie morale du séminaire de Mende / Nouvelle édition, chez J. J. M. Ignon, imprimeur-libraire / Mende, 1825)
Le Père L'Ouvreleul y cite en p. 26 le château comme étant encore en bon état en 1724.