Quelques informations
Je n'ai pas vraiment d'informations sur ce château disparu.
SOS  Je ne suis pas certain de la localisation précise de ce château aujourd'hui disparu et j'ignore s'il en reste encore quelque trace.
Si vous possédez des informations pouvant m'aider, je les accepterai avec plaisir.
Cliquez sur l'enveloppe dans le cadre du bas pour m'envoyer vos informations et/ou photos.
 
Sources d'information
1. Cadastre napoléonien (Archives départementales de la Lozère) :
Saint Hillaire, section B, dite de Saint Hillaire de Lavit, 1ère feuille, plan de 1833.
 
2. Monographies communales de Saint Hilaire de Lavit (Archives départementales de la Lozère) :
Le 30 juin 1862, l'instituteur A. Guin évoque le château : "Il y a deux châteaux qu'on appelle le Château du Solier et celui de Richard, ce dernier est en ruine depuis longtemps ; certaines personnes âgées prétendent même qu'il n'y a jamais eu de toiture." (texte original)
Le 30 juin 1862, l'instituteur Reboul évoque le château dans les mêmes termes. (texte original)
 
3. L'Administration Royale dans la sénéchaussée de Beaucaire au temps de Saint-Louis (par Robert Michel / éd. librairie Alphonse Picard et Fils, Paris / 1910)
Robert Michel y cite en p. 344 le château de "Saint-Hilaire-de-Lavit" comme existant au XIIIe siècle. S'agit-il du Solier ou de Richard ?
 
4. Mémoires historiques sur le Pays de Gévaudan et sur la ville de Mende, qui en est la capitale (pour servir au dictionnaire universel de la France / par le Révérend Père L'Ouvreleul, Prêtre de la doctrine chrétienne, directeur et professeur de théologie morale du séminaire de Mende / Nouvelle édition, chez J. J. M. Ignon, imprimeur-libraire / Mende, 1825)
Le Père L'Ouvreleul y cite en p. 26 le château comme étant encore en bon état en 1724.
 
5. Les châteaux de l'Arrondissement de Florac (par Robert Poujol / Janvier 1958 / Ouvrage privé déposé aux Archives Départementales de la Lozère et édité par l'association Font Vive dans le Hors série n°1 du Lien des Chercheurs Cévenols)
Le château y est décrit en pp. 85-86.